L’image d’aujourd’hui, juste cela. Un mur lépreux, des gouttières, une flaque . Les cercles parfaits et mouvants et changeants que sans cesse font gouttes de pluie. Tout un monde si proche, si lointaine la voix pour le dire.
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Un reflet de ciel. On se rapproche, apparaissent des graviers, puis les gravats d’on ne sait quel écroulement sous l’aire claire. L’onde aurait pu être si pure, seule la surface.
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L’air, le ciel, l’eau, la terre; aucun n’y manque des éléments médiévaux, tous avaient pris la pose. Le monde d’avant tohu-bohu. Infini vif, infini mort, rien n’y pense.
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Danses-reflets, le mouvement pur. La beauté sans fin ni sens.
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