La lumière éteinte sous les nuages bas
les grands arbres nus s’y ramifient tout en noir
le scintillement lent du brouillard sous les lampes
tout ce gris où étouffe l’éclat de la vie
il n’y a plus de nuits où règnent ces ténèbres
De la distance terrestre bleue le matin
traverse un trait : la lumière blanche en vol.
19 décembre 2009 at 8 h 33 min
Entre nous, le « Il n’y a plus de nuit où règne ces ténèbres » me semble plus « juste », en tout cas plus « plausible », que le « Il n’y a plus de nuit où règnent les ténèbres ».
(Dites, comme il nous arrive parfois d’être à l’abri dans le Strasbourg-Sélestat… Enfin bref.)
Bien à vous.
19 décembre 2009 at 11 h 35 min
Merci de votre visite, de votre lecture.
20 décembre 2009 at 13 h 44 min
Pardonnez ce commentaire super plat, mais sincèrement, moi qui ne suis pas d’ordinaire sensible à la poésie, la vôtre me touche. Voilà voilà. ^^
20 décembre 2009 at 18 h 05 min
Merci vraiment, et ^^ aussi.