Le versant d’ici reste toujours à gravir, et sa nuit sans étoiles, et son absence toute. Au passant qui errait, la Nocturne d’un geste prend la main. Soient aubes ses feux noirs et la danse féroce qu’elle mène.
Le versant d’ici reste toujours à gravir, et sa nuit sans étoiles, et son absence toute. Au passant qui errait, la Nocturne d’un geste prend la main. Soient aubes ses feux noirs et la danse féroce qu’elle mène.
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