viennent les passes
noires et nues
où voguer vers
quelle terreur
à la proue
on savait que
l’étau des roches
allait broyer
la nef entière
corps et âme
pour peu que ne
franchissent pas
les ailes blanches
pour peu que ne
dans l’écume
se montre pas
la main suprême
qui porterait
plus loin la barque
imprévisible
poupe brisée
mais le haut-vol
possible dans
l’étrave intacte
quels seuls visages
hors du royaume
où ne sont qu’ombres
vont apparaître.
15 janvier 2012 at 11 h 22 min
Bonjour, est-il possible de vous faire écho ( de publier votre texte sur mon blog poétique avec bien entendu le lien sur votre site ? )
voir http://ecritscrisdotcom.wordpress.com
merci bien
R Ch
16 janvier 2012 at 13 h 57 min
Votre texte est en ligne à l’adresse suivante : http://ecritscrisdotcom.wordpress.com/2012/01/16/jean-yves-fick-feuillet-41/