d’entre la branche et l’ombre
quoi quelle grâce se joue procède la grâce
ou serait-ce du mur
tout un pan du un fragment plus solaire
vers quoi lever les yeux
cela est de ce silence
on appelleaperçoit un traverse é invoque le jour toujours
où [quand cesse la vision. ]cessent les regards.
quand la vision se brûle.
28 janvier 2014 at 9 h 39 min
Ce sont des lignes qui se forment,
On ne peut décider,
Desquelles ont prise sur la réalité,
Elles invoquent la lumière traversière.
De la branche et de l’ombre,
Même posée, sur la course d’une rivière,
Et suivant ses remous,
Elle reste impalpable,
Du mur liquide,
Au mur vertical, pierres jointoyées,
Ne pouvant capter
La course solaire.
Oui, le jour toujours invoqué,
Et l’image projetée,
Le corps léger d’un oiseau,
Ployant les tiges.
Son ombre,
Notre regard,
Reconstruit une vie,
Se passant ailleurs.
RC