du plus loin où en soi on va
riens
l’allée de sable
sous les arbres
la vie
— on reprend ses gestes
l’un après l’autre
traverser l’orbe de silence
un pas léger
semble renverse
des ombres
une cendre
déjà s’incorpore
le sol meuble
— on peut enfin lever les yeux.
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