des feuillages
d’encore l’été
et dessous des voix
que viennent mêler d’ombres
les formes diverses du jour
avant que les yeux ne se ferment
tout un monde bascule chute vers sa nuit.
des feuillages
d’encore l’été
et dessous des voix
que viennent mêler d’ombres
les formes diverses du jour
avant que les yeux ne se ferment
tout un monde bascule chute vers sa nuit.
25 juillet 2016 at 18 h 10 min
j’entends l’arbre qui marche portant la nuit dans sa chevelure…