à même sa fin
la main qui n’est plus
elle seule
ombre doucement
le grain de la pierre
— on y reconnaît e découvre
au le visage de toute nuit.
nombres ouvert — quelle la nuit.
à même sa fin
la main qui n’est plus
elle seule
ombre doucement
le grain de la pierre
— on y reconnaît e découvre
au le visage de toute nuit.
nombres ouvert — quelle la nuit.
19 septembre 2016 at 5 h 56 min
l’ombre qui caresse la nuit…