sommes pour rien
sans rien de nous les jours
vont — cela vacille
sans dessein
chaque instant — un pas l’autre
et puis c’est la nuit
le froid sans ciel ni étoikles.
sommes pour rien
sans rien de nous les jours
vont — cela vacille
sans dessein
chaque instant — un pas l’autre
et puis c’est la nuit
le froid sans ciel ni étoikles.
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