delà le souffle
le vent
un seuil ouvert
à part soi
dedans le monde
ce qui est
affleure
sans paroles
un galet l’herbe rase d’être.
delà le souffle
le vent
un seuil ouvert
à part soi
dedans le monde
ce qui est
affleure
sans paroles
un galet l’herbe rase d’être.
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