ces branches courbes noires
toutes de pluies
qu’égouttent-elles — vivre
— elles qui n’ont pas d’ombres
on les dirait mortes
puis ce sont des voix
— on dirait qu’elles jouent
quoi recommence le jour
— celles que le vent emmêle.
ces branches courbes noires
toutes de pluies
qu’égouttent-elles — vivre
— elles qui n’ont pas d’ombres
on les dirait mortes
puis ce sont des voix
— on dirait qu’elles jouent
quoi recommence le jour
— celles que le vent emmêle.
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