c’est devant soi
ce qui est –devenir
sans plus même connaître
où est la fin des jours
l’erre des nuits toute
des pas comme lointains
entendent les voix nues
et les vents sur l’amont
qui va dans l’incertain
c’est devant soi
ce qui est –devenir
sans plus même connaître
où est la fin des jours
l’erre des nuits toute
des pas comme lointains
entendent les voix nues
et les vents sur l’amont
qui va dans l’incertain
Votre commentaire