là tout soudain quoi
l’aube déjà
en allée vers soir
une brume
passe ce qui est
chaque jour ce rien
le corps va au-devant
où les heures sont
le vide et le vent
là tout soudain quoi
l’aube déjà
en allée vers soir
une brume
passe ce qui est
chaque jour ce rien
le corps va au-devant
où les heures sont
le vide et le vent
Votre commentaire