le temps échu vain
quelles les mains sans
gestes — des gisants
un autre visage
delà le silence
les yeux clos les traits
émaciés déjà
hors d’eux excoriés
une porte claque
le temps échu vain
quelles les mains sans
gestes — des gisants
un autre visage
delà le silence
les yeux clos les traits
émaciés déjà
hors d’eux excoriés
une porte claque
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