soit chaque pas au noir
le soir tient de toute aube
le vertige des heures
il n’y a plus de lieu
le corps sans aucun nom
il n’y a plus visage
seulement un peut-être
dont & le plus simple souffle
avance là le connaître
soit chaque pas au noir
le soir tient de toute aube
le vertige des heures
il n’y a plus de lieu
le corps sans aucun nom
il n’y a plus visage
seulement un peut-être
dont & le plus simple souffle
avance là le connaître
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