on va sous les arbres
la lumière aveugle
à même les yeux
le noir des lointains
où et le vent se brise
et les risées brûlent
de seuil en seuil sans
faille le fleuve un
ici est sans rêves
on va sous les arbres
la lumière aveugle
à même les yeux
le noir des lointains
où et le vent se brise
et les risées brûlent
de seuil en seuil sans
faille le fleuve un
ici est sans rêves
Votre commentaire