la vie au reflux
on sait que le vent
au sable se noue
au plus nu des mondes formes
derrière soi l’ombre
nul n’a plus visage
mais les yeux demeurent
ouverts à jamais
là-bas le soir tombe
la vie au reflux
on sait que le vent
au sable se noue
au plus nu des mondes formes
derrière soi l’ombre
nul n’a plus visage
mais les yeux demeurent
ouverts à jamais
là-bas le soir tombe
Votre commentaire