là ce presque rien
les ciels trop tranquilles
blancs — le vent absente
chacune des feuilles
un chant pauvre et nu
de l’une à l’autre chacune des aubes
ouvre et continue
le fredon des arbres
pour que soit le jour
là ce presque rien
les ciels trop tranquilles
blancs — le vent absente
chacune des feuilles
un chant pauvre et nu
de l’une à l’autre chacune des aubes
ouvre et continue
le fredon des arbres
pour que soit le jour
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