ici qui connaît
l’autre des étés
et les gels ne peuvent
briser ni cliver
tout le prix
des ombres la paix
— l’éperon à nu
est demeure encore
on y voit des ronces
parmi les granits
ici qui connaît
l’autre des étés
et les gels ne peuvent
briser ni cliver
tout le prix
des ombres la paix
— l’éperon à nu
est demeure encore
on y voit des ronces
parmi les granits
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