on a levé les yeux
mais devant soi plus rien
la nuit éblouie tonne
sous un silence épars
vers quel autre dehors
cela du corps attend
que tout cesse que tout
renaisse parmi l’ombre
qui n’est rien qu’ici même
on a levé les yeux
mais devant soi plus rien
la nuit éblouie tonne
sous un silence épars
vers quel autre dehors
cela du corps attend
que tout cesse que tout
renaisse parmi l’ombre
qui n’est rien qu’ici même
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