dedans soi quoi oeuvre
ce n’est plus guère un
souffle ni un songe
mais l’un avec au don l’autre
la trouée d’un ciel
le hasard des routes
montre trace son infime comme un temps
temps — chaque change de visage
ouvert plus au vaste
dedans soi quoi oeuvre
ce n’est plus guère un
souffle ni un songe
mais l’un avec au don l’autre
la trouée d’un ciel
le hasard des routes
montre trace son infime comme un temps
temps — chaque change de visage
ouvert plus au vaste
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