d’heure en heure plus
au fleuve l’ouvert
par quoi les jours fluent
d’une nuée l’autre
étrangère en corps
la lumière meurt
de plus en plus tard
et le soir s’envole
— un fétu au vent
d’heure en heure plus
au fleuve l’ouvert
par quoi les jours fluent
d’une nuée l’autre
étrangère en corps
la lumière meurt
de plus en plus tard
et le soir s’envole
— un fétu au vent
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