une eau très claire
ce n’est guère le corps
sur la pierre nue
encore d’été
ce n’est guère rien
parmi le soir
sinon ce qui souffle
de soi insoumis
à quelque dessein
et le vent calme
une eau très claire
ce n’est guère le corps
sur la pierre nue
encore d’été
ce n’est guère rien
parmi le soir
sinon ce qui souffle
de soi insoumis
à quelque dessein
et le vent calme
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