quelle la brûlure
ici sur les feuillages
l’été au rouge vibre
et s’étend sur les cimes
on parcourt tout vivre
une sente dans l’ombre
amène à la falaise
où chutent les eaux vives
sans autre racine
quelle la brûlure
ici sur les feuillages
l’été au rouge vibre
et s’étend sur les cimes
on parcourt tout vivre
une sente dans l’ombre
amène à la falaise
où chutent les eaux vives
sans autre racine
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