le jour sous le cri
et les yeux que brûle
qui sait quelle ardeur
la faim a désir
clair et bien trop haut
— on sait que les nombres
hantent tout l’espace
qui seul nous arpente
bleu — l’oiseau de proie
le jour sous le cri
et les yeux que brûle
qui sait quelle ardeur
la faim a désir
clair et bien trop haut
— on sait que les nombres
hantent tout l’espace
qui seul nous arpente
bleu — l’oiseau de proie
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