l’allée devant soi
ce n’est plus le sable
ni la terre nue
qui envoûte l’œil
où vient la lumière
vient
de soi on entend que va
chaque pas — cela
comme_ un souffle court
juste avant le soir
l’allée devant soi
ce n’est plus le sable
ni la terre nue
qui envoûte l’œil
où vient la lumière
vient
de soi on entend que va
chaque pas — cela
comme_ un souffle court
juste avant le soir
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