cela qui est là
on ouvre les yeux
delà le froid terne
la lisière nue
que le brouillard voile
le givre sur l’herbe
pauvre de l’allée
— lumière de riens
on s’éloigne en soi
cela qui est là
on ouvre les yeux
delà le froid terne
la lisière nue
que le brouillard voile
le givre sur l’herbe
pauvre de l’allée
— lumière de riens
on s’éloigne en soi
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