murs — la nuit qui vient
on touche le froid
grenu de la roche
ici comme stèle
le grain de la roche
et nulle part rien
on entend le vent
et un bruit de branches
mortes — plus un fruit
qui ferait obole
murs — la nuit qui vient
on touche le froid
grenu de la roche
ici comme stèle
le grain de la roche
et nulle part rien
on entend le vent
et un bruit de branches
mortes — plus un fruit
qui ferait obole
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