on sait de la nuit
toujours à venir
le dessein sans nom
et rien n’y échappe
l’empan inflexible
sans mesure
là-bas se consume
où le jour s’attarde
demain n’est plus rien
nos voix sont feux pauvres
on sait de la nuit
toujours à venir
le dessein sans nom
et rien n’y échappe
l’empan inflexible
sans mesure
là-bas se consume
où le jour s’attarde
demain n’est plus rien
nos voix sont feux pauvres
Votre commentaire