de toi la main nue au seuil
et dehors le froid
ce n’est pas le jour
ni même la nuit
seule pour aller
ici que devient
le temps — l’autre rive
sous la ronce court
toucher l’outre-rêve entier
de toi la main nue au seuil
et dehors le froid
ce n’est pas le jour
ni même la nuit
seule pour aller
ici que devient
le temps — l’autre rive
sous la ronce court
toucher l’outre-rêve entier
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