on dirait des voix
à l’avant des barques
la saute de vent
altère le chant
le corps comme eau noire
un regard que scrute
l’impassible et même
fleuve sans rivages
au lointain des mondes
on dirait des voix
à l’avant des barques
la saute de vent
altère le chant
le corps comme eau noire
un regard que scrute
l’impassible et même
fleuve sans rivages
au lointain des mondes
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