le souffle du vent
qui apprend jamais
la main des hivers
pas même la glace
à perte de vue
ni cela que brûle
haut l’oiseau de proie
que porte son cri quel appel
et respirer là
le souffle du vent
qui apprend jamais
la main des hivers
pas même la glace
à perte de vue
ni cela que brûle
haut l’oiseau de proie
que porte son cri quel appel
et respirer là
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