qu’importe la nuit
on entend au loin
que les arbres tendent
leurs ramures nues
à ce qui se brise
rien pas un remord
un souffle sonore
élague les mondes
on va sous le vent
qu’importe la nuit
on entend au loin
que les arbres tendent
leurs ramures nues
à ce qui se brise
rien pas un remord
un souffle sonore
élague les mondes
on va sous le vent
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