soir sous le vent d’orage
on sait que de soi toute
trace laissée n’est plus
rien à même le sable
loin les martinets noirs
comme si vivre ici
était ne pas toucher
terre — d’où nos paroles
chassent d’un même cri
soir sous le vent d’orage
on sait que de soi toute
trace laissée n’est plus
rien à même le sable
loin les martinets noirs
comme si vivre ici
était ne pas toucher
terre — d’où nos paroles
chassent d’un même cri
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