on est de ce dehors
et proche et étranger
sans être soi perdu
on ne sait jamais comme
l’air est bruire — feuillage
on se retient au monde
à peine un grain de sable
que la rivière emporte
— le vol des libellules
on est de ce dehors
et proche et étranger
sans être soi perdu
on ne sait jamais comme
l’air est bruire — feuillage
on se retient au monde
à peine un grain de sable
que la rivière emporte
— le vol des libellules
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