le vent vient ployer
le presque rien pauvre
qui vit sur ces terres
et la roche porte
des lignes de vie
cela qui accepte
la faux des hivers
puis scelle l’été
laissées sur le
au surplomb du vide
le vent vient ployer
le presque rien pauvre
qui vit sur ces terres
et la roche porte
des lignes de vie
cela qui accepte
la faux des hivers
puis scelle l’été
laissées sur le
au surplomb du vide
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