on n’entend plus même
un endroit où cesse
le vent on attend
le bruit de la pluie
les routes vers soi
et plus rien n’endigue
cela que parcourent
l’ombre puis les larmes
toutes vers le fleuve
on n’entend plus même
un endroit où cesse
le vent on attend
le bruit de la pluie
les routes vers soi
et plus rien n’endigue
cela que parcourent
l’ombre puis les larmes
toutes vers le fleuve
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