les feuillages s’ouvrent
on ressent à peine
le souffle du vent
et là tout soudain
la rive paraît
le plumage bleu
d’un martin pêcheur
renoue tous les ciels
et l’eau turbulente
les feuillages s’ouvrent
on ressent à peine
le souffle du vent
et là tout soudain
la rive paraît
le plumage bleu
d’un martin pêcheur
renoue tous les ciels
et l’eau turbulente
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