l’aube a son silence
on passe parmi
l’absence ou la brume
au porche des nuits
ce sont des ciels rouges
un lointain se forme
et puis se défait
où le vent se lève
on œuvre du jour
l’aube a son silence
on passe parmi
l’absence ou la brume
au porche des nuits
ce sont des ciels rouges
un lointain se forme
et puis se défait
où le vent se lève
on œuvre du jour
Votre commentaire