ici se brouille s’emmêle de pluies
tout un autre arrière-mondecircule reflue — et les yeux ouverts
s’emplissent enfin de larmes
on remet tout ce qui est
les arbres nus les prés vides
les nuits les roches brisées les nuits
ce tout d’un monde à renaître
pas à pas au devenir
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