quel un sable se défait
et retourne à la terre
le souffle où tient mêlée
la roche des statues
de l’une à l’autre rive
des branches brisées trouent
les berges sous la crue
le fleuve un chant sans voix
on épelle qui égrène des mots
quel un sable se défait
et retourne à la terre
le souffle où tient mêlée
la roche des statues
de l’une à l’autre rive
des branches brisées trouent
les berges sous la crue
le fleuve un chant sans voix
on épelle qui égrène des mots
Votre commentaire