ici une éblouie
la rive fait détour
et tout soudain l’éclat
épars dessus les eaux
et les yeux pleurent d’être
ce rien que les roseaux phragmites
chantent delà le gel
et le vent d’hiver mord
les feux où le soir brûle
ici une éblouie
la rive fait détour
et tout soudain l’éclat
épars dessus les eaux
et les yeux pleurent d’être
ce rien que les roseaux phragmites
chantent delà le gel
et le vent d’hiver mord
les feux où le soir brûle
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