h3s.115

ici une éblouie

la rive fait détour
et tout soudain l’éclat
épars dessus les eaux

et les yeux pleurent d’être

ce rien que les roseaux phragmites
chantent delà le gel
et le vent d’hiver mord

les feux où le soir brûle


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :