l’hiver va sans pourquoi
et là-bas cet ajour
auprès de la lisière
attire en son creux même
les ciels toujours changeants
l’image et son abrupt
les songes qu’en miroir
la nue vient boire là
de jour en jour plus clairs
l’hiver va sans pourquoi
et là-bas cet ajour
auprès de la lisière
attire en son creux même
les ciels toujours changeants
l’image et son abrupt
les songes qu’en miroir
la nue vient boire là
de jour en jour plus clairs
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