h3s.197

le vent s’est levé

comme on souffle ici
le temps des hivers
cela fait retour

sur les eaux brûlées

des oiseaux noirs passent
l’un puis l’autre sans
une ombre de vie

les riens disparaissent


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :