ici le vent toujours
une voix comme d’ombres
un monde sans visages
on voit autour de soi
dans les feuillages rouges
le temps passé en veilles
le chant d’une mésange
clair presque plus que tout
stèles pour quels gisants
ici le vent toujours
une voix comme d’ombres
un monde sans visages
on voit autour de soi
dans les feuillages rouges
le temps passé en veilles
le chant d’une mésange
clair presque plus que tout
stèles pour quels gisants
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