h3s.208

ici le vent toujours

une voix comme d’ombres
un monde sans visages
on voit autour de soi

dans les feuillages rouges

le temps passé en veilles
le chant d’une mésange
clair presque plus que tout

stèles pour quels gisants


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :