une grisaille d’heures
ici semble immobile
la vie est retirée
dedans des murs des ombres
celles sans raison — comme
un pantin vient moquer
vivre — des mot creux — dire
seuls demeurent du souffle
un temps lent et des cendres
une grisaille d’heures
ici semble immobile
la vie est retirée
dedans des murs des ombres
celles sans raison — comme
un pantin vient moquer
vivre — des mot creux — dire
seuls demeurent du souffle
un temps lent et des cendres
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