sans un souffle de vent
les feuillages muets
un son très doux reflue
dehors veille un en silence
un pas nu vient sans bruit
et les yeux s’ouvrent seuls
on ne connaît de soi
que cette ombre fugace
ce n’est rien que le jour
sans un souffle de vent
les feuillages muets
un son très doux reflue
dehors veille un en silence
un pas nu vient sans bruit
et les yeux s’ouvrent seuls
on ne connaît de soi
que cette ombre fugace
ce n’est rien que le jour
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