quelque corps noir _ le vide
des feuillages immobiles
le vent a cessé tout
de son oeuvre — élaguer
et plus rien qui n’attache ne rattache
quelques branches en fleur
à plus loin ces bois morts
secs qu’un rien vient briser
le souffle à qui vivait
quelque corps noir _ le vide
des feuillages immobiles
le vent a cessé tout
de son oeuvre — élaguer
et plus rien qui n’attache ne rattache
quelques branches en fleur
à plus loin ces bois morts
secs qu’un rien vient briser
le souffle à qui vivait
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