h3s.259

on entend que l’orage

passe la main de pluies
sur les sols trop secs d’être
— le feu qui trop attend

lave de soi les ombres suies

cela qui brûle ici
le possible des larmes
espère un renouveau

et incendie le monde


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :