d’où sont ces presque voix
ce n’est ni la rivière
ni le sable des berges
les ombres sont plus fluides
ici elles résonnent
la lumière a brûlé
le trop plein de reflets
on entend les feuillages
comme un lointain respir
d’où sont ces presque voix
ce n’est ni la rivière
ni le sable des berges
les ombres sont plus fluides
ici elles résonnent
la lumière a brûlé
le trop plein de reflets
on entend les feuillages
comme un lointain respir
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